CloroxPro Blog – Informations professionnelles sur le nettoyage et la désinfection

Les agents pathogènes émergents constituent une source de préoccupation majeure dans les établissements de soins de santé en raison de leur grande contagiosité et de la menace qu’ils font peser sur la santé des patients à risque élevé. De plus, la résistance croissante aux antimicrobiens ne fait qu’ajouter au sentiment d’inquiétude chez les responsables de la santé publique. Ensemble, ces facteurs contribuent à créer un environnement où ces nouveaux agents infectieux peuvent se propager rapidement et entraîner des maladies graves, voire la mort.

Les agents pathogènes, notamment les virus, les bactéries et les champignons, peuvent s’introduire dans nos établissements de soins de santé de différentes manières, y compris par l’intermédiaire des patients, des travailleurs, des visiteurs et des bénévoles. Une fois qu’ils ont pénétré à l’intérieur d’un établissement, ces agents pathogènes peuvent se propager par contact direct entre personnes, par contact indirect entre une surface contaminée et une personne, ou encore, par projection de gouttelettes ou d’aérosols venant d’une personne infectée.

Agents pathogènes causant des maladies respiratoires

La plupart des maladies respiratoires sont causées par des virus à ARN, lesquels se caractérisent par des taux de mutation génétique élevés. Les cas d’infections des voies aériennes peuvent être causés soit par l’émergence de nouveaux variants d’agents pathogènes connus, comme ceux de la grippe A (H3N2), soit par l’émergence d’agents pathogènes nouvellement identifiés et/ou jusque-là inconnus.

Grippe: L’Agence de la santé publique du Canada prévoit, pour la deuxième année consécutive, une saison grippale particulièrement active, cela en raison de l’émergence d’une nouvelle souche du virus H3N2 que le vaccin antigrippal de cette année pourrait ne pas couvrir. La désignation H3N2 fait référence à une souche de grippe A reconnue pour la gravité des infections qu’elle provoque, en particulier chez les personnes âgées ou immunodéprimées. Toute hospitalisation pour cause de grippe est un signe d’infection grave et fait courir, par le fait même, un risque de transmission aux autres patients ainsi qu’au personnel soignant et aux visiteurs.

Grippe aviaire: La désignation H5N1 fait référence à un sous-type du virus de la grippe A, lequel est responsable de la grippe aviaire, qui s’attaque aux volailles et aux oiseaux. Cet agent pathogène circule déjà depuis 1996. Bien que le risque de transmission aux humains demeure faible, l’on a recensé 81 cas confirmés de la maladie chez l’humain à l’échelle mondiale en 2024, ce qui a placé la grippe aviaire au rang des maladies émergentes hautement préoccupantes pour les responsables de la santé publique en 2025.

Virus respiratoire syncytial: Le VRS peut provoquer une atteinte grave chez les groupes à risque élevé, y compris les personnes âgées, les personnes immunodéprimées, les nourrissons et les jeunes enfants.

Coronavirus: À l’origine de la COVID-19, du SRAS et du SRMO, les coronavirus ont beaucoup fait parler d’eux depuis le début de la pandémie de 2020. Depuis lors, un certain nombre de nouveaux variants ont émergé, dont certains sont associés à une forme plus bénigne de la maladie. Malgré cela, les infections à coronavirus peuvent encore se propager à grande échelle et provoquer des atteintes graves, en particulier chez les groupes les plus vulnérables (personnes âgées ou immunodéprimées) et les personnes non vaccinées.

Rougeole

Il ne nous viendrait pas à l’idée de considérer la rougeole comme un «agent pathogène émergent», mais au Canada, une épidémie touchant plusieurs provinces persiste depuis plus d’un an. Par conséquent, le Canada a perdu son statut de pays ayant éliminé la rougeole après un peu moins de trois décennies. Ce statut ne pourra être rétabli qu’à partir du moment où la transmission de la souche actuellement en circulation aura été maîtrisée pendant au moins 12 mois consécutifs. Rappelons que la rougeole peut entraîner des complications graves chez les patients hospitalisés.

Résistance aux antimicrobiens

Certains agents pathogènes deviennent de plus en plus résistants aux antibiotiques et aux antifongiques existants. L’infection causée par ces agents peut survenir chez des patients dont le système immunitaire est affaibli, qui souffrent d’une maladie pulmonaire chronique, qui sont sous respirateur artificiel ou cathétérisés, qui ont une sonde urinaire installée à demeure ou qui viennent de subir une intervention chirurgicale. Certaines de ces bactéries multirésistantes incluent les espèces suivantes:

• Entérobactéries telles que Klebsiella pneumoniae et Escherichia coli (E. coli): Ces bactéries peuvent provoquer une pneumonie ou des infections graves au niveau des voies urinaires, du système sanguin et des plaies.
• Pseudomonas aeruginosa: La bactérie P. aeruginosa peut provoquer des atteintes bénignes chez les personnes en bonne santé, telles que des otites ou des éruptions cutanées, mais elle peut également provoquer des infections graves du système sanguin ou une pneumonie chez les patients hospitalisés. Certaines souches de P. aeruginosa sont résistantes à la plupart ou à l’ensemble des antibiotiques.
• Clostridioides difficile: La bactérie C. difficile peut provoquer une diarrhée allant de légère à grave et pouvant mettre en danger la vie des personnes atteintes, le plus souvent chez les personnes traitées par antibiotiques. C. difficile n’est pas encore très résistante aux médicaments utilisés pour la traiter, mais ces médicaments peuvent être inefficaces et rendre le patient vulnérable à une récidive de la maladie.
• Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) et Staphylococcus aureus résistant à la vancomycine (SARV): Les bactéries de type S. aureus constituent l’une des principales causes d’infections nosocomiales, c’est-à-dire contractées en milieu hospitalier, allant des infections cutanées et pneumonies aux bactériémies, infections valvulaires et infections des plaies chirurgicales.

Mesures de prévention Étant donné qu’un hôpital constitue un milieu propice à la transmission de nombreux agents pathogènes, il est essentiel de réduire au minimum le risque de contamination à la grandeur de l’établissement, des chambres des patients aux aires publiques. Le risque de transmission peut être grandement limité grâce à des protocoles de nettoyage et de désinfection appropriés. Le choix des produits à privilégier pour une action antimicrobienne ciblée et efficace doit idéalement reposer sur des critères de rendement, d’emploi sécuritaire, de compatibilité avec les surfaces et de facilité et d’uniformité d’emploi. Une excellente façon de garder une longueur d’avance dans la lutte contre les infections est de se tenir au courant des agents pathogènes émergents afin de choisir des produits dont la formule est la mieux adaptée pour y faire face!

Protégez votre royaume de propreté contre les agents pathogènes émergents grâce aux serviettes préhumectées et prêtes à l’emploi de CloroxPro^MC, une solution efficace et efficiente pour nettoyer et désinfecter en une seule étape!

Les produits nettoyants et désinfectants suivants ont démontré leur efficacité germicide contre de multiples agents pathogènes sur les surfaces dures et non poreuses lorsqu’ils sont utilisés selon leur mode d’emploi.

Serviettes nettoyantes désinfectantes sans alcool VersaSure® de Clorox Healthcare^MC (DIN 02473151)

• Dégagent une faible odeur, laissent peu de résidus, exercent une action efficace et sont exemptes d’alcool.
• Tuent les virus de la grippe de type A, le VRS et le virus de la rougeole dans un délai de 30 secondes.
• Tuent les virus et les bactéries, y compris les germes du rhume et de la grippe, le SARM, les staphylocoques, E. coli, les streptocoques, les salmonelles et l’organisme qui cause la coqueluche (B. pertussis).
• Également efficaces pour lutter contre les allergènes courants, la graisse, la saleté incrustée et les résidus de savon.
• Idéales pour les endroits très fréquentés, tels que les espaces privés comme les chambres des résidents et les salles de bain, ainsi que les points chauds comme les poignées de porte et les téléphones.

Serviettes désinfectantes germicides à l’eau de Javel de Clorox Healthcare^MC (DIN 02465671)

• Homologuées par Santé Canada pour la destruction de 66 agents pathogènes.
• Tuent les virus de la grippe aviaire de type A et H5N1 en 1 minute.
• Tuent les virus en 1 minute, et les bactéries en 30 secondes.
• Efficacité germicide contre les spores de C. difficile démontrée dans le cadre d’un test effectué en présence d’une charge de souillures organiques constituée de 3 parties.
• Offertes dans une boîte ronde pour les surfaces en milieu clinique et dans un seau à l’usage des services de la salubrité.

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